En 2017, 23 camps et des milliers de campeurs à l’échelle du pays ont participé au Défi Bondar. Armés de leurs caméras et encadrés par des moniteurs formés (le matériel de formation est disponible en ligne et en format papier), les campeurs ont exploré, observé, apprécié et photographié la nature. Offrez ce beau programme dans votre camp cet été!
Les camps ont jusqu’au 1er mai 2018 pour s’inscrire.
Pour en savoir plus et pour vous inscrire : http://www.therobertabondarfoundation.org/the-bondar-challenge/summer-camp-bondar-challenge/
Voici mon Canada et un projet de Historica Canada et une initiative signature Canada 150. Voici mon Canada est rendu possible grâce au financement du gouvernement du Canada et de la Banque de Montréal.
Visitez www.heresmycanada.ca pour en savoir plus.
Pour la neuvième année, l’ACC s’associe à Andrea Koehle Jones, directrice générale de la Fondation ChariTREE, pour offrir des semis d’arbre gratuits aux camps canadiens. Planter un arbre est un moyen puissant d’enseigner aux enfants qu’ils ont le pouvoir de faire un monde meilleur. Cliquez ici pour apprendre comment participer.
Ce programme est ouvert à tous les camps canadiens, y compris ceux qui ont planté des arbres lors des années précédentes. Nous encourageons tous les camps à participer au programme tout en célébrant le 150e de la Confédération.
Responsabilités des camps participants:
Pour de plus amples renseignements sur Andrea Koehle Jones et la Fondation ChariTREE, visitez le site Web de la fondation au www.charitree-foundation.org.
Alberta : Ted Lockie (Ted.Lockie@diabetes.ca)
Saskatchewan : Donna Wilkinson (donnaw@sasktel.net)
Manitoba : Kim Scherger (KimScherger@manitobacamping.ca)
Ontario : Jen Gilbert (jen@ontariocamps.ca)
Nouveau-Brunswick : John Savage (John@campcentennial.ca)
Terre-Neuve-et-Labrador : Malcolm Turner (killdevil.camp@gmail.com)
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L’été dernier, des campeurs de partout au Canada ont planté plus de 13 000 arbres fournis par la Fondation ChariTREE, qui fête cette année son 10e anniversaire. L’ACC est une partenaire de la Fondation depuis 2009.
Les commentaires des camps participants confirment les nombreux avantages du programme.
Merci à la Fondation ChariTREE pour ce programme récurrent. C’est bien d’inciter nos campeurs à agir pour préserver nos forêts. ~ Jocelyn Palm, directrice et propriétaire, Glen Bernard Camp
Planter un arbre, c’est un geste d’espoir. Nos campeurs aiment embellir nos habitats, accroître la biodiversité et simplement passer du temps dans la nature. Merci pour cette merveilleuse initiative. Vous cultivez l’espoir d’un avenir plus vert. ~ J. Rodenburg, Camp Kawartha
Merci pour votre générosité et vos actes de bienfaisance. C’est un programme extraordinaire pour notre camp, notre personnel et nos campeurs. Le Camp Couchiching fête cette année son 70e anniversaire, alors nous plantons un arbre pour chacune de nos années d’existence. Merci beaucoup d’avoir contribué à cette initiative et à notre succès cet été. ~ Ross McIntyre, directeur associé, Camp Couchiching
Les arbres donnés par la Fondation ChariTREE ont été plantés pendant notre camp familial. Nous vous sommes très reconnaissants, car l’agrile du frêne a créé de nombreux vides dans notre forêt. Vos épinettes blanches remplaceront certains de nos frênes perdus. ~ Sarah Leitch, directrice de camp, Disciples Conference Grounds
Joignez vous à plus de 280 000 Canadiens qui ont relevé le Défi de la citoyenneté en y inscrivant votre groupe. Vos campeurs peuvent en apprendre plus à propos du Canada avec ces outils d’apprentissage gratuits et ils peuvent ensuite passer le faux examen de la citoyenneté et ainsi courir la chance de gagner d’excellents prix comme un voyage à Ottawa, des livres et des mitaines!
Jetez un coup d’œil au http://citizenshipchallenge.ca/fr/teacher/register pour tous les détails et pour inscrire votre groupe.
« Qu’est-ce que c’est? », m’a demandé mon chef de cabine. Nous avons tous les deux admiré mon œuvre en argile vernie qui sortait du four. J’avais 12 ans. Je n’avais rien créé de précis. J’avais plutôt conçu un peu n’importe quoi en m’amusant simplement à modeler l’argile pendant les longues périodes du programme d’art et d’artisanat. Mais chose sérieuse, il fallait maintenant que j’identifie mon projet!
« Humm… », ai-je dit tout haut.
Enfin, mon chef de cabine s’est exclamé : « Oh, je vois. C’est un cendrier. »
Et voilà. Nous étions en 1980, il était donc encore permis de faire un cendrier. Aujourd’hui, dans la mouvance du politiquement correct, le même objet serait assurément qualifié de plat à bonbons ou à noix de soya santé et hypoallergènes. Dans tous les cas, mon œuvre était bien là et elle existait en tant que telle. Comme pour la plupart des projets d’art et d’artisanat au camp, elle représentait avant tout un instantané de mes pensées, de mes sentiments et de mes actions du moment. Elle était simple et personnelle, et c’est sans doute la raison pour laquelle elle repose toujours sur le bureau de ma mère (sans cendre).
Des flots d’encre ont coulé sur ce qui définit l’art et sur ce qui le distingue de l’artisanat. Mon intention n’est pas d’écrire un essai sur l’esthétique, je tiens seulement à dire pourquoi je pense que l’art et l’artisanat sont si importants au camp. Dans mon esprit, toute initiative créative mettant les sens en éveil peut être considérée comme de l’art. En revanche, l’artisanat exige des compétences structurelles, souvent acquises en tant qu’apprenti. Naturellement, l’art et l’artisanat vont de pair. Par exemple, Michel-Ange faisait appel aux méthodes artisanales de sculpture sur pierre pour créer ses œuvres, notamment le David. De même, au camp, les enfants apprennent des techniques telles que le tissage et la menuiserie pour créer des objets d’art comme des paniers et des cabanes à oiseaux. À quelle fin?
De nos jours, on admet que l’esprit humain se compose d’intelligences multiples. Autrement dit, nous sommes dotés de différentes forces cognitives – mathématique, sociale, verbale, artistique, etc. – qui se complètent l’une et l’autre. Par conséquent, le fait de combiner des activés sportives et sociales avec des projets d’art et d’artisanat nourrit le cerveau des enfants. Il s’agit en quelque sorte d’une formation intellectuelle transversale. Le problème de certains programmes d’art et d’artisanat, c’est qu’ils sont soit trop marginalisés, soit trop mécanisés.
D’une part, il y a marginalisation, lorsque la direction du camp ne parvient pas à créer une atmosphère où l’art est valorisé. L’art et l’artisanat ne sont alors pas perçus comme des activités « cool ». Peu de campeurs participent aux maigres périodes offertes et ceux qui le font sont étiquetés comme non sportifs, non aventureux ou non hétérosexuels.
D’autre part, il y a mécanisation, lorsque la direction du camp s’appuie sur des trousses déjà toutes faites au lieu de stimuler la créativité. On demande parfois aux campeurs d’acheter des mocassins, des cabanes à oiseaux, des portefeuilles, etc. à assembler. Dans ces cas, les activités – si on peut les appeler ainsi – se résument aux explications fournies aux enfants par le moniteur sur l’interprétation des directives d’assemblage. La fibre créative des enfants s’éteint alors en même temps que leur estime de soi, puisqu’il n’y a aucun sentiment réel d’accomplissement.
Dans les meilleurs camps, les programmes d’art et d’artisanat ont le vent dans les voiles, car la direction reconnaît la valeur d’un bon équilibre entre les activités – une combinaison adéquate de sport, d’aventure et d’art. Qui plus est, ces programmes sont florissants, car ils encouragent les campeurs à affiner leurs compétences, à résoudre des problèmes et à créer de nouvelles choses. C’est excellent pour leur cerveau et leur esprit, et le personnel du camp participe alors activement à sa mission, soit de favoriser un développement positif des jeunes. En prime, certains parents et grands-parents chanceux pourraient recevoir un cendrier – ou plutôt un presse-papier – à la fin du camp.
Cet article a initialement été publié dans le blogue Week-Ender, un produit de la revue Camp Business. Pour vous abonner, rendez-vous au www.campbusiness.com.
Pour la huitième année, l’ACC s’associe à Andrea Koehle Jones, directrice générale de la Fondation ChariTREE, pour offrir des semis d’arbre gratuits aux camps canadiens. Selon les échos des participants, le programme a aidé à reboiser des forêts brûlées ou malades, embellir des sites et créer des écrans contre le vent et les regards tout en inspirant de jeunes campeurs.
Ce programme est ouvert à tous les camps canadiens, y compris ceux qui ont planté des arbres lors des années précédentes. Nous encourageons tous les camps à participer, peu importe dans quelle mesure, afin de profiter des bienfaits connus du programme, tant pour les campeurs que les camps.
Communiquez avec votre représentant provincial (indiqué ci-dessous) d’ici le 8 avril 2016 pour passer une commande, en prenant soin d’indiquer le nombre d’arbres et l’endroit où ils seront plantés.
Vous avez le choix de commander de 40 à 800 arbres. Puisqu’Andrea commande les arbres de pépinières dans chaque province, les semis sont adaptés aux conditions de culture de votre province.
Les arbres sont livrés dans des boîtes de carton contenant 20 arbres.
Les arbres seront livrés au cours des deux dernières semaines de juin. Vous serez avisé par votre représentant de la date exacte et du lieu de cueillette dans votre province. Les arbres seront livrés au cours des deux dernières semaines de juin. Vous serez avisé par votre représentant de la date exacte et du lieu de cueillette dans votre province. Andrea s’est engagée à livrer l’ensemble de la commande de chaque province à un endroit, qui est choisi par le représentant provincial.
Les camps sont responsables de chercher leur commande à cet endroit ou d’organiser la livraison vers leur camp. Selon l’expérience d’Andrea, le moyen le moins cher de livrer les semis est par autobus Greyhound. Si vous ne recevez pas votre commande à la date prévue, veuillez en aviser votre représentant provincial.
Les arbres peuvent être entreposés dans un endroit sombre et sec pour un maximum de deux semaines avant d’être plantés.
Responsabilités des camps participants:
Pour de plus amples renseignements sur Andrea Koehle Jones et la Fondation ChariTREE, visitez le site Web de la fondation au www.charitree-foundation.org.
Colombie-britanique, Yukon, NWT, Nunavut
Andrea Koehle Jones (andreakj452@gmail.com)
Alberta
Ted Lockie (Ted.Lockie@diabetes.ca)
Saskatchewan
Donna Wilkinson (donnaw@sasktel.net)
Manitoba
Liz Kovach (lkovach@manitobacamping.ca)
Ontario
Jen Gilbert (jen@ontariocamps.ca)
Québec
Christine Martin (cmartin@ptitbonheur.com)
Nouveau-Brunswick
John Savage (john@campcentennial.ca)
Nouvelle-Écosse et Île-du-Prince-Édouard
Derek Mitchell (president@canspei.ca)
Terre-Neuve-et-Labrador
Malcolm Turner (killdevil.camp@gmail.com)
À la mi-juin 2015, le conseil municipal de Sundridge, en Ontario (population de 1 000 habitants) a sollicité l’aide de la directrice de camp Jocelyn Palm. Elle a accepté.
Le conseil de la municipalité de Sundridge savait que Jocelyn Palm, la directrice du camp Glen Bernard, était une ancienne directrice générale de la Société de sauvetage. Malgré des ressources et une capacité financière limitées, la municipalité située sur la rive du lac Bernard espérait offrir un programme de natation à ses jeunes résidents. Ainsi, Jocelyn a offert de mettre à la disposition de la municipalité ses aspirants-moniteurs pour deux cours chaque matin de la semaine pendant trois sessions de deux semaines. Les frais de 30 $ par participant seraient versés aux fonds du village.
Chaque matin, la fourgonnette du camp parcourait les 6 km pour se rendre au village et déposer les moniteurs, puis ramenait le groupe pour midi. Un coordonnateur accompagnait les instructeurs sélectionnés parmi un groupe de trente-trois aspirants-moniteurs. Les enfants du village en profitaient, tout comme les moniteurs, ravis de pouvoir redonner à la communauté locale en mettant à profit les compétences qu’ils avaient acquises au camp.
Depuis 2013, première année du partenariat entre l’ACC et la Fondation Roberta Bondar, plus de cinquante camps dans six provinces ont participé au Défi Bondar. Onze de ces camps ont participé aux trois éditions et des centaines de campeurs ont découvert la diversité naturelle de leur camp sous de nouvelles perspectives. La Fondation espère que les anciens participants seront de retour à l’été 2016 et encourage de nouveaux participants à adopter ce programme enrichissant.
Les centaines de soumissions reçues au cours de l’été sont en cours d’évaluation – les gagnants 2015 seront dévoilés prochainement.
Le Défi Bondar permet aux campeurs de ralentir leur rythme habituel et de se rapprocher de la nature — et n’est-ce pas cela, la raison d’être du camp?
– Camp Kanannaq, YMCA of Northern BC, Colombie-Britannique