Le 30 septembre 2017, le village de Sundridge, en Ontario, a célébré l’ouverture du Near North Enviro-Education Centre. Cet édifice de conception écologique, alimenté grâce à l’énergie géothermique et solaire, est le fruit de la vision de Jocelyn Palm, directrice du Glen Bernard Camp où les campeurs apprennent depuis plusieurs années à « vivre simplement ».
Le Near North Enviro-Education Centre, dont la construction s’est échelonnée sur plusieurs années, est le témoin de la vision, du soutien financier et de la « persévérance et détermination à toute épreuve » de Jocelyn Palm.
Les gens présents à la cérémonie d’inauguration ont loué la capacité de Mme Palm à nouer des partenariats et à mener à bien ses projets. Lyle Hall, mairesse de Sundrige, Chris Ellis, maire du canton de Strong, Norman Miller, député provincial de Muskoka Parry Sound et l’honorable Carolyn Bennett, ministre des Relations Couronne-Autochtones et des Affaires du Nord ont parlé des trois piliers du projet, essentiels à la pérennité des communautés rurales : la durabilité environnementale, la durabilité économique et la diversité sociale. Doug Dokis, représentant des communautés autochtones locales, a marqué le début de la cérémonie par une prière de remerciement en ojibwa et une chanson blackfoot pour bénir l’immeuble.
La mission du NNEEC est d’« aider les communautés rurales à devenir des modèles en matière de mode de vie durable grâce à de la formation, de l’information et des occasions concrètes d’apprentissage axées sur ces trois piliers ».
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L’été dernier, j’ai visité plusieurs camps. À l’un d’eux, chaque membre du personnel croisé sur le chemin du camp le jour de mon arrivée m’a souri et accueillie d’un « Bonjour, je peux vous aider? ». Je m’y suis senti la bienvenue. Par contre, à un autre camp, la première personne croisée m’a brusquement demandé, d’un ton de confrontation, « Que voulez-vous? » Et sans le sourire, ça va de soi. Je n’avais pas annoncé ma visite, et peut-être que le camp s’inquiète de la présence d’étrangers sur son terrain, mais il n’en reste pas moins que je suis une grand-mère aux cheveux gris, qui n’a pas particulièrement l’air menaçant! ‑ Catherine Ross
Joanna Warren Smith offre d’excellents conseils sur comment former son personnel à communiquer adéquatement avec les clients:
Arrêtez-vous, regardez et écoutez! Je vous en prie!
Vous l’avez probablement remarqué, de nos jours, les gens ne sont généralement pas très cordiaux les uns envers les autres. Ils sont brusques, secs et impolis. La colère, le sarcasme et les remarques incisives sont devenus la norme.
En effet, pas plus tard que la semaine dernière, deux parents n’ayant aucun lien m’ont dit avoir été rebutés par des camps qui leur avaient été chaudement recommandés, après y avoir été traités sans plus de façon. Quand j’ai entendu leurs doléances – « Elle ne m’a même pas demandé le nom de mon enfant! », « J’ai eu l’impression de la déranger et d’interrompre quelque chose d’important » –, j’ai demandé la permission à quelques clients d’appeler leur bureau à divers moments. Bien sûr, je me suis heurtée à des réponses expéditives, et on m’a grandement encouragée à visiter le site Web.
Vraiment? Vous préférez qu’un client potentiel visite votre site Web, ou qu’il noue une relation avec votre camp?
AGISSEZ DÈS MAINTENANT
De grâce, ne tenez pas pour acquis que votre équipe fait les choses comme il se doit. Mettez de l’intention dans votre service à la clientèle, de façon à contrer le style des interactions personnelles actuelles. Si vous devez créer des scénarios, former et mentorer votre personnel pour accroître leurs compétences relationnelles en plus de rafraîchir vos communications, je vous garantis que le jeu en vaudra la chandelle.
Joanna invite tous les membres de l’ACC à visiter son site Web et à s’inscrire aux conseils mensuels gratuits (HINTS), au camp-consulting.com