
Wallace Forgie, founder of Camp Tonakela
Wallace Forgie travelled to India to serve as Secretary to the Madras chapter of the YMCA. After retiring in 1936, he remained in India and devoted his life to improving the lives of underprivileged children by building a camp.
Two years after his retirement, Wallace Forgie set up Camp Tonakela. Apparently, Forgie chose the Canadian-Indian name meaning ‘NOT FOR SELF’ but it also sounds like “THANUKKU ILLA” in Tamil, which too means not for self.
Forgie came to India as part of YMCA outreach but became an admirer of Indian culture and religion, which were much more integrated into people’s lives. He left the Y and began this mission on his own with support from camps in Canada.
Forgie, founder of Ottawa YMCA Camp On-da-da-waks and with vast experience in outdoor camping, felt that city-folk needed to be encouraged to enjoy camping. In 1946, 15 acres of land was acquired in Avadi by the Camp Tonakela Association. The Camp’s objective was, in Forgie’s own words, “to provide a well-equipped camp site, conduct training in camping and in the leadership of every form of character building activities.” Forgie also had a vision of helping the nearby villagers enhance their skills in gardening, agriculture, handicrafts and cottage industry. Camp Tonakela was to act as the support centre for these villagers who were interested in developing their skills.
Now, in its 75th year, Camp Tonakela continues to enthrall nature lovers with its beauty and mystery. Camp Tonakela offers 15 acres of greenery with lots of trees and shrubs, a small pond and a covered swimming pool, all within its compound. There are 24 tents, adequate sanitation facilities and a kitchen with utensils for the campers to use.
Wally Forgie was “a kindly man with a lot of integrity and a desire to help and uplift persons he worked with and worked for without regard to religion, caste, etc. in the finest tradition of the YMCA,” a Canadian colleague writes. Another colleague recalls, “My earliest recollection of Wally Forgie was during one of his visits to Camp On-da-da-waks in or about 1959-60. He was particularly fascinated with the many pine cones scattered about the camp property and was quite intent on taking a number of them back to Madras…”
Nowadays, over 1200 campers, 800 picnickers and 1000 swimmers use the Camp’s facilities. Day-to-day expenses are met by the income from camps, picnics and swimming. Capital expenditure has to come from donations. The Camp Tonakela connection to Canada and to ICF goes on…
The headquarters for the International Camping Fellowship is located at Camp Tawingo in Canada. Camp Tawingo was founded by Jack Pearse, a former director of YMCA Camp On-da-da-waks . On-da-da-waks, which means ‘Men of the Woods’ in the Algonquin language, was recognized as the oldest in Ontario while it ran (until 1967). Camp Tawingo and several other camps in Canada sent annual donations to Camp Tonakela for many years.

Wallace Forgie, Camp Tonakela
Wallace Forgie se rend en Inde à titre de secrétaire de la section Madras du YMCA. Après avoir pris sa retraite en 1936, il reste au pays pour consacrer sa vie à améliorer la vie d’enfants défavorisés en fondant un camp. La suite dans la section Quoi de neuf de l’ACC.
Deux ans après sa retraite, Wallace Forgie fonde le Camp Tonakela. Il aurait baptisé le camp d’après le nom canadien-indien signifiant « PAS POUR SOI ». Le mot sonne aussi comme le terme tamil « THANUKKU ILLA », qui veut dire la même chose.
Forgie se rend en Inde dans le cadre d’une mission du YMCA. Il tombe sous l’admiration de la culture et de la religion indienne, qui là-bas font partie intégrante de la vie des gens. Il quitte le Y et fonde le Camp Tonakela avec le soutien de camps au Canada.
Fondateur du Camp On-da-da-waks du YMCA d’Ottawa, Forgie croit que les gens de la ville ont besoin d’être encouragés pour apprécier le camping. En 1946, l’Association du Camp Tonakela acquiert un terrain de 15 acres. La mission du camp, dans les mots de Forgie, est d’« offrir un site bien équipé, une formation en plein air et des activités qui forgent le caractère ». Forgie a aussi pour vision d’offrir aux villageois de la région un centre où ils peuvent développer leurs compétences en jardinage, agriculture et artisanat.
Aujourd’hui, à sa 75e année, le Camp Tonakela continue de réjouir les amoureux de la nature. Sis sur 15 acres de verdure parsemée d’arbres, d’arbustes et d’un petit étang, le camp est pourvu d’une piscine couverte, de 24 tentes, d’installations sanitaires et d’une cuisine à la disposition des campeurs.
« Wally Forgie était un homme aimable, intègre et résolu à aider et inspirer les gens avec lesquels il travaillait sans égard à la religion, à la classe sociale, etc., dans la grande tradition du YMCA », écrit un collègue canadien. Un autre collègue se rappelle : « Mon plus vieux souvenir de Wally Forgie remonte à l’une de nos visites au Camp On-da-da-waks en 1959-60. Il était particulièrement fasciné par les nombreuses cocottes éparpillées sur le terrain du camp et avait l’intention de les ramener à Madras… »
Aujourd’hui, plus de 1200 campeurs, 800 pique-niqueurs et 1000 nageurs profitent des installations du Camp Tonakela. Le revenu provenant des camps, piques-niques et de la natation permettent de couvrir les dépenses quotidiennes, tandis que des dons sont nécessaires pour les immobilisations. Le lien entre le Camp Tonakela, le Canada et l’International Camping Fellowship est bien vivant.
Le siège du International Camping Fellowship est situé au Camp Tawingo au Canada. Le Camp Tawingo fut fondé par Jack Pearse, un ancien directeur du Camp YMCA On-da-da-waks. On-da-da-waks, qui signifie « homme des bois » dans la langue algonquine, était reconnu comme le plus ancien camp en Ontario avant sa fermeture en 1967. Pendant de nombreuses années, le Camp Tawingo et plusieurs autres camps canadiens envoyaient annuellement des dons au Camp Tonakela.






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