[:en]Camp Counselors Are Awesome![:fr]Les moniteurs de camp sont super![:]

[:en]At the request of Ottawa Parenting Times, Catherine Ross, Communications officer for CCA, wrote this article to describe for parents the qualities of a camp counselor. Share this with your staff to motivate them to be the best they can be!

Camper and Counsellor boysAcross the country, thousands of eager, former campers are counting the days until summer camp begins. Some new campers may be more anxious than excited as day one draws near. Once camp begins, the one person who will influence the experience of each camper the most is the camp counselor.

The director is essential; the maintenance staff is useful; the nurse is important (should you need her) and nobody would stick around for long without the cook. But the camp counselor is the one with the closest, most consistent contact with the campers. As one renowned camp director, Elizabeth Raymer, described it, “This group of leaders determines the success or failure of the entire enterprise…The most beautiful site with elegant buildings and a superabundance of up-to-date equipment is useless in the hands of an inept staff.” Her expectations were clear: if you aspire to be a camp counselor, you have to be good. Your campers deserve your very best.

Camp directors diligently read resumes, identify candidates worthy of an interview then check references. With care and thoroughness, they select a group of young people whom they believe to be worthy of emulation by impressionable young campers. Once on site, they continue to train, supervise and evaluate. One camp staff alumna who assisted the director with interviewing prospective camp counselors for the 2015 season marveled at the qualifications, personalities, experiences and volunteer service of the candidates. My own experience concurs with her conclusions – young people who choose to be camp counselors are anything but average.

Canadian Camping Association Counsellors Are AwesomeThe summer my eighteen-year-old son joined our staff as a canoe trip leader, I had a rude awakening. For years, without a second thought, I had sent other people’s young adults into the wilderness to care for our campers. Sending my own son forced me to think more carefully about the huge burden I was placing on these young leaders’ shoulders. I expected them to travel for days on the assigned route, feed, shelter and care for a group of campers relying on the bare necessities, their experience, judgment and skills. They accepted the challenge without hesitation. And they never disappointed me! Despite the rattlesnake sunning on the portage path, a group of drunken fishermen wanting to share their site or a young camper with abdominal pain who required evacuation in the night, they always made the right decision and brought everyone home safe and sound. With one exception , they always arrived on time. Once when the lake was too rough to cross, they patiently remained on shore until the wind died down thus forcing them to arrive home late – but with good reason. Again, they made the right decision.

That summer I started a new tradition. At the end of the season, I wrote to my camp staff parents to share with them my renewed admiration of their offspring based on their achievements that summer.

The campers get the last word. As a Board Member for the Kids in Camp Charity, I recently received a summary of comments from the campers that the charity had financially assisted in 2014. Their remarks confirmed that counselors continue to do an awesome job. Payton tells us, “I learned how to do tricks on a wake board…my counselors were amazing and so chill.” Veronica, a special needs camper reports, “If something is too hard or too much, I can tell my counselors and it doesn’t mean I’m lazy.” Emily confirms, “My counselors were really nice, sweet and kind and very funny.” Tal loved his counselors, “Cameron and Shimon are very cool and they helped us with problems if we got into fights. I am so lucky I came to this camp.”[:fr]À la demande d’Ottawa Parenting Times, Catherine Ross, responsable des communications de l’ACC, a écrit cet article pour décrire aux parents les qualités d’un moniteur de camp. À partager avec vos employés pour les motiver à toujours donner le meilleur d’eux-mêmes!

Camper and Counsellor boysAux quatre coins du pays, des milliers d’anciens campeurs enthousiastes comptent le nombre de jours qu’il reste avant le début du camp d’été. Et parmi les nouveaux, il y en a peut-être qui sont plus anxieux qu’emballés à l’approche du jour J. Une fois que le camp commence, la personne la plus déterminante pour l’expérience de chaque campeur est sans contredit le moniteur.

L’administrateur est essentiel; le personnel d’entretien est utile; l’infirmière est importante (lorsqu’on en a besoin); et personne ne ferait long feu sans le cuisinier. Mais le moniteur est celui qui maintient le contact le plus étroit et le plus constant avec les campeurs. Selon l’éminente administratrice de camp Elizabeth Raymer, « C’est ce groupe de meneurs qui détermine le succès ou l’échec de toute l’entreprise… Le site le plus magnifique, pourvu d’immeubles élégants et d’une surabondance d’équipement de pointe, est inutile entre les mains d’un personnel incapable. » Ses attentes sont claires : lorsqu’on aspire au poste de moniteur de camp, il faut être bon. Nos campeurs méritent ce que vous avez de mieux.

Les administrateurs de camps lisent assidûment les CV, retiennent les candidats qui méritent une entrevue, puis vérifient leurs références. Avec soin et rigueur, ils sélectionnent un groupe de jeunes gens qu’ils croient dignes d’être émulés par de jeunes campeurs impressionnables. Une fois sur le site, ils continuent à les former, les superviser et les évaluer. Une ancienne employée de camp, qui aidait l’administrateur à interviewer les moniteurs potentiels en vue de la saison 2015, s’étonnait devant les qualifications, les personnalités, les expériences et le bénévolat des candidats. Ma propre expérience corrobore ses conclusions – les jeunes gens qui choisissent d’être moniteurs sont tout sauf ordinaires.

Canadian Camping Association Counsellors Are AwesomeL’été où mon fils de dix-huit ans s’est joint à notre équipe à titre de chef d’excursion en canot, mon réveil a été brutal. Durant des années, sans aucune arrière-pensée, j’avais envoyé les jeunes des autres s’occuper de nos campeurs dans la nature. Le fait d’envoyer mon propre fils m’a forcée à réfléchir plus sérieusement au fardeau que j’imposais à ces jeunes. Je m’attendais à ce qu’ils suivent l’itinéraire établi, qu’ils nourrissent, abritent et surveillent un groupe de campeurs pendant des jours, et cela, à l’aide du strict nécessaire, de leur expérience, jugement et habileté. Ils acceptaient le défi sans broncher, et ils ne m’ont jamais laissée tomber. Malgré le serpent à sonnettes qui se faisait bronzer au milieu du sentier, le groupe de pêcheurs ivres qui voulait partager leur site ou le jeune campeur souffrant de douleur abdominales telles qu’il a dû être évacué en pleine nuit, ils ont toujours pris la bonne décision et ramené tout le monde sain et sauf au bercail. À une exception près, ils sont toujours arrivés à temps. Une fois, lorsque le lac était trop agité pour la traversée, ils ont attendu patiemment sur la rive que le vent se calme, ce qui les a forcés à rentrer en retard, et pour cause. Mais une fois de plus, ils avaient pris la bonne décision.

Cet été-là, j’ai instauré une tradition : à la fin de la saison, j’ai écrit aux parents de mes jeunes employés afin de leur faire part de mon admiration renouvelée pour leurs rejetons au vu de tout ce qu’ils avaient accompli durant l’été.

Le mot de la fin revient aux campeurs. En tant que membre du conseil de l’organisme de bienfaisance Kids in Camp, j’ai récemment reçu un résumé des commentaires formulés par les campeurs qui avaient reçu de l’aide financière de l’organisme en 2014. Leurs remarques confirment que les moniteurs font toujours un travail remarquable. Payton nous dit : « J’ai appris à faire des acrobaties sur la planche nautique… mes moniteurs étaient super et tellement chill! » Veronica, une campeuse ayant des besoins particuliers, rapporte que : « Si quelque chose est trop dur, je peux le dire à mes moniteurs, et ça ne veut pas dire que je suis paresseuse. » Emily confirme que : « Mes moniteurs étaient vraiment gentils, aimables et généreux, et très drôles aussi. » Tal a adoré ses moniteurs : « Cameron et Shimon sont trop cool, et ils nous ont aidé à résoudre nos problèmes quand on se bagarrait. Je suis tellement chanceux d’être venu à ce camp! »
Catherine Ross, responsable des communications de l’ACC, est l’auteure de How to be a Camp Counselor, the best job in the world! ainsi que du livrel Preparing for Camp, d’Our Kids.[:]

Facebooktwitterredditpinterestlinkedinmail

About Catherine Ross

Catherine's lifelong love of camping began in 1953 when she accompanied her mother, the new camp cook, to Camp Tanamakoon in Algonquin Park. She remained at Tan until 1978 as a camper and in several staff roles. After five years as a teacher, in 1979, Catherine and her husband George purchased Camp Mi-A-Kon-Da for girls in Parry Sound, Ontario which they owned for 20 years. Catherine has served on the Board of the Ontario Camps Association, and is Past President of the Society of Camp Directors. She is served as Communications Officer on the Board of the CCA, as is a recipient of the CCA's Ron Johnstone Lifetime Achievement Award. She is past editor of Camps Canada, published by the CCA, and the OCAsional News, the newsletter of the OCA. She is the author of four publications. Her articles on camping have appeared in numerous magazines.
This entry was posted in [:en]News[:fr]Nouvelles[:] and tagged , , . Bookmark the permalink.

Comments are closed.